Plus de 400 amendements ont été retenus et celles et ceux qui ont participé avec constance à ce débat ont pu voir qu’il y avait une cohérence, comme l’ont montré les nombreux rapporteurs qui ont travaillé sur ce texte. Cette cohérence consiste précisément à revisiter, parce que notre économie l’exige, beaucoup de domaines qui sont parfois trop souvent captifs de leur clientèle et de leur précaution – cela vaut d’ailleurs également pour notre ministère. Ouvrir les professions réglementées pour accroître la liberté d’accès pour les jeunes, c’est une bonne chose.