Je vous laisse imaginer, mes chers collègues, dans quel état d’esprit sont aujourd’hui les professeurs, les parents d’élèves et les élus locaux, très émus par cette décision totalement incompréhensible. J’ai souhaité, comme beaucoup d’autres élus confrontés à une telle situation en France, rencontrer Mme la ministre de l’éducation nationale et depuis plusieurs semaines déjà, j’attends sa réponse.