À l'heure actuelle, il s'agit plus d'aménager des stations existantes que d'en créer de nouvelles, mais ces procédures ont leur importance puisqu'elles impliquent un passage devant une commission. Si cette procédure était supprimée, le passage en commission le serait aussi et de nombreux acteurs de la montagne, en particulier les associations environnementales, ne seraient même plus au courant des projets de modification. Or, nous avons bien insisté sur le fait que ces réformes ne devaient pas nuire à la bonne information du public. De plus, les dossiers d'UTN sont concrets et nécessairement bien chiffrés. Peut-être y a-t-il des aménagements à faire en fonction de l'importance des projets concernés, mais nous pensons vraiment qu'il faut maintenir ce dispositif d'UTN.