Dimanche, vous vous êtes trouvé dans cette manifestation particulière avec des gens particuliers. Avec qui vous êtes-vous senti le mieux : le premier ministre turc, sponsor de l'État islamique, ou M. Lavrov, qui devrait être notre allié, notamment sur le terrain, et est le président d'un parti menacé par l'État islamique ?
J'observe que chaque fois que nous avons été amenés à monter une action belliqueuse par porte-avions interposé, cela ne s'est pas bien passé, la dernière opération de ce type remontant à 1989, où M. Assad a fait sauter un DC10 d'UTA au-dessus du désert du Ténéré.