Monsieur Habib, je m'étais abstenue d'évoquer les conversations que nous avons eues à ce sujet. J'avais en effet été très choquée par le parallèle que vous avez établi dans un communiqué le 7 janvier entre le vote de la résolution sur la Palestine – dont je comprends que vous ne l'ayez pas soutenue, comme je comprends votre émotion – et la tragédie qui venait de se produire. Vous avez franchi là une limite, ce que je déplore. Ce parallèle était non seulement totalement inopportun mais inacceptable.