Monsieur, dans vos réponses écrites, vous indiquez que la nature de vos activités professionnelles est parfaitement compatible avec les contraintes liées à l'exercice d'un mandat au Conseil supérieur de la magistrature mais que, s'il le fallait, vous êtes en capacité de prendre votre retraite professionnelle et donc de vous consacrer « à temps plein » au Conseil supérieur de la magistrature. Selon vous, l'intérêt d'une personnalité qualifiée au CSM est-il d'y être « à temps plein » ou, au contraire, de continuer à exercer une activité professionnelle annexe lui permettant d'avoir une vision un peu plus « ouverte » des problèmes judiciaires ?