Je vous entends, monsieur le ministre, mais je préférerais que ce soit écrit. Dans ces territoires, il faut aller au-delà des douze dimanches prévus dans le dispositif PUCE. Il ne s'agit pas d'une ouverture généralisée jusqu'à 150 kilomètres de la frontière ; les zones frontalières font vingt kilomètres. Regardez ce qui se passe avec l'Espagne, Andorre ou l'Italie. Nous devons apporter une réponse territoriale qui aille au-delà du contenu actuel du texte parce qu'il n'est pas à la hauteur de l'enjeu. Le mot « frontalier » doit apparaître.