Je ne comprends pas non plus pourquoi les gares et les aéroports – où, d'ailleurs des dispositifs de compensations plutôt généreux ont déjà été négociés avec les employeurs – seraient soumis à des régimes différents. Le ministre argue que les unes sont en ville et les autres à l'extérieur, mais cette distinction, on vient de le dire, n'est pas pertinente. Par ailleurs, les aéroports sont au premier chef des zones touristiques puisque ce sont des zones frontières.