Je souhaite sous-amender l'amendement des rapporteurs en remplaçant, au 1° b), le mot « douze » par le mot « sept ». Avec cette modification, l'amendement permettra de faire évoluer le nombre de dimanches où l'on peut ouvrir les commerces afin de profiter des périodes d'activité commerciale plus importante, conservera la possibilité pour le maire de décider des cinq dimanches et pour l'EPCI de donner son avis sur les ouvertures au-delà de ce nombre. En même temps, il préservera le caractère exceptionnel de l'ouverture dominicale des commerces, alors qu'avec douze dimanches, monsieur le ministre – vous l'avez vous-même souligné –, on passe dans le registre de l'habitude.