On parle bien du travail dominical, payé double, et d'une possibilité d'aller jusqu'à douze dimanches, avec des éléments de régulation apportés par les rapporteurs. Comme je viens de le rappeler, ce chiffre se fonde sur l'expérience, le rapport commandé par le Gouvernement appuyant cette décision. Depuis une semaine, nous menons ensemble un travail collectif fécond qui montre l'ouverture du Gouvernement, sa volonté d'avancer et d'accepter les arguments rationnels. Votre sous-amendement, madame Berger, est orthogonal à cette démarche. C'est le chiffre que vous proposez qui représente un fétiche : pourquoi sept plutôt que six ou huit ? Ce chiffre n'a pas de fondement rationnel et votre démarche n'incite pas à la discussion. J'émettrai donc un avis défavorable à votre sous-amendement.