Nous parlons ici, je le rappelle, de zones très spécifiques et du seul commerce de détail. Je comprends votre volonté commune de protection, et je l'approuve.
Toutefois, en l'espèce, il s'agit essentiellement de surveillance médicale. Or nous rencontrons déjà de grandes difficultés à assurer celle-ci pour les travailleurs de nuit, car nous manquons de médecins. Une mission vient d'être lancée sur ce sujet. Je suis donc réticent et propose plutôt le retrait de l'amendement.