Monsieur le président, le Conseil national de l'air a souligné à plusieurs reprises l'impact du trafic aéroportuaire sur la qualité de l'air, et nous avons tous entendu parler des concentrations de NOX et de PM10 sur le tarmac. Sont donc concernés non seulement les riverains, mais aussi le personnel qui travaille pendant plusieurs heures dans un contexte de qualité de l'air dégradée. Un groupe de travail devait préciser le diagnostic et faire des propositions concrètes fin 2014. Où en est-on et quelles sont vos propositions en la matière ?