Certes, les mots ont leur importance, et quand bien même ils pourraient heurter, il faut parler franchement et ne pas les banaliser. Qu'il s'agisse d'euthanasie ou de suicide assisté, l'acte reste grave, ce n'est pas une opération commerciale ou de marketing. Au contraire, il faut heurter les personnes atteintes de maladies graves concernées par le texte, car il s'agit de prendre une décision extrêmement lourde.