Sur le fond, je suis plutôt favorable à cet amendement et je partage le sentiment de la rapporteure et de Christophe Cavard. Or je ne suis pas sûr que tout le monde entende la même chose. Le débat que nous aurons cet après-midi en séance publique pourrait avoir l'avantage de clarifier les termes employés. S'agissant du suicide médicalement assisté, chacun comprend que c'est celui qui se suicide qui décide. En revanche, bien que vous donniez le même sens aux mots « aide active à mourir », le grand public ne le percevra pas ainsi.