Balayées d’un revers de la main, sinon d’un trait de plume, parfois des deux, par votre majorité depuis deux ans et demi.
Surtout, il faudra bien vous faire à l’idée, un jour, qu’au bout de deux ans et demi, presque trois, on peut considérer à bon droit que ces résultats sont aussi les vôtres, et pas seulement ceux d’une politique qui aurait laissé le pays dans un état insupportable – je m’associe bien évidemment à la majorité précédente.