Je me félicite enfin, monsieur le ministre, que vous ayez fait usage de votre liberté de parole en commission spéciale pour reconnaître que la loi du 10 juillet 2014 sur les stages était, je vous cite, « une fausse bonne idée engendrant de nombreux effets pervers ». Je suis donc persuadé que nous pourrons compter sur vous pour réécrire cette loi – quand le temps aura mis en lumière ses effets pervers – et que nous pourrons revenir à la loi de 2011, qui était une loi équilibrée et négociée avec les partenaires sociaux.