La réalité, c’est qu’il n’y a aujourd’hui pas de justice sur ces sujets-là, et je veux, au risque d’énerver M. le député Jacob, rappeler pourquoi il est cohérent de défendre cette loi sur le travail du dimanche quand on s’est opposé à la loi Mallié en 2009.
Cette loi prévoyait la régularisation des « périmètres d’usage de consommation exceptionnel », les PUCE, 41 grandes zones commerciales hors des centres-villes, où il était permis de travailler cinquante-deux dimanches par an, avec des règles de compensation généreuses, un principe de « payé double », sans accord, et la possibilité, pour les commerces alimentaires, d’ouvrir jusqu’à 13 heures. Pour le reste, rien.