Puis la crise est arrivée, qui a révélé la différence des situations et d’un seul coup a fait comprendre à certains qu’en effet, les augmentations salariales octroyées pendant une décennie dorée – celle de l’euro – n’étaient peut-être pas soutenables, que les efforts, les réformes, parfois nécessaires, n’avaient pas été faits, que les intérêts de quelques-uns avaient toujours été protégés.
Depuis la crise, de manière brutale, une troïka, dont nous avons à plusieurs reprises critiqué la gestion bureaucratique, a serré ce pays, le gouvernement…