Aujourd’hui, nous rencontrons des problèmes de stress hydriques dont les agriculteurs pourraient d’ailleurs vous entretenir. Je ne suis donc pas sûre que cette question ait été complètement étudiée, comme en atteste d’ailleurs le rapport de l’IGF.
En outre, l’emprise est énorme sur les terres agricoles, sur lesquelles ce projet repose à hauteur de 90 %, ce qui représente à peu près quatre fois la perte annuelle de terres agricoles en Picardie.
Comme je ne veux pas laisser croire que les écolos sont contre tout