Ce texte suscite une profonde inquiétude. On l’a vu à l’article 2, quand mon collègue Gilles Lurton a évoqué cette notion très mal définie des cent kilomètres, mais on le voit aussi sur un certain nombre d’autres dispositions. On est d’ailleurs amené dans le présent texte à corriger des imperfections du projet de loi ALUR. La manière dont le travail est mené ne me paraît pas du tout sérieuse, et un dispositif comme celui qui a été évoqué dans l’amendement du Gouvernement mériterait d’être inclus dans le cadre d’une politique de transports plus globale et justifierait que l’on puisse entendre à ce moment de notre discussion le ministre des transports.