Le CIF doit en partie sa situation à la dégradation de sa note par une agence de notation. Je m'interroge sur l'impartialité de telles agences. Pensez-vous qu'une agence publique de notation aurait abouti à des conclusions différentes ?
La future loi sur l'organisation bancaire imposera la séparation des activités bancaires traditionnelles et des activités de spéculation. Aurait-elle protégé le CIF ?