Au-delà de l'avenir du CIF, il me semble que sont en jeu le sauvetage de l'accession sociale à la propriété au plus près des gens et des territoires, mais aussi une conception sociale du rôle du banquier. Au regard des montants exigés – 50 000 euros d'apport personnel et 4 200 à 4 400 de revenus mensuels –, qui peut, aujourd'hui, particulièrement en province, devenir propriétaire ?