Absolument. C'est une question de cohésion des forces. Si, demain, on laisse s'installer des associations de militaires du rang, de sous-officiers ou d'officiers – et pourquoi pas des associations de sous-officiers du 40e régiment d'artillerie ? –, c'en est fini de l'armée française. Le caractère intergrades des associations est fondamental. Sans lui, on bascule dans le corporatisme et dans la guerre de tous contre tous.