Je remercie également les intervenants pour leurs présentations.
Comme mes prédécesseurs, j'insiste sur la nécessité de coordonner les politiques locales. Nous fondons à ce propos de grands espoirs sur l'acte III de la décentralisation afin que de telles politiques soient effectivement menées sur le plan territorial.
Cela dit, le « cochon de Strasbourg », un adorable hamster, risque de nous « mettre sous cloche rapidement », même si nous sommes prêts à tout pour qu'il ne soit plus chassé. Malgré les discussions engagées avec l'ensemble des collectivités territoriales dans un cadre relativement consensuel, deux arrêtés ministériels parus aux mois d'août et de septembre derniers visent en effet à geler définitivement 9 000 hectares de terre. Or, dans une région où la pression démographique demeure très importante, vous imaginez à quel point cela nous pénaliserait. Il est temps que la loi impose un véritable dialogue illustrant ce que vous avez préconisé, monsieur le président, dans vos propos introductifs. Dans cette commission, nous devons faire un lobbying forcené afin que le pilotage régional soit mis en oeuvre.