L’enseignement que je tire des expériences de nos voisins est l’importance de mettre le libre choix du patient au coeur du dispositif et de bien l’encadrer par la législation : c’est possible.
Madame la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, vous l’avez dit ce matin : « Les Français veulent pouvoir choisir. » Je suis d’accord. Donnons-leur le choix, mais le plus large possible, de la manière dont ils veulent terminer leur vie.