Intervention de Valérie Boyer

Réunion du 28 janvier 2015 à 9h30
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Boyer :

Je m'étonne que cette maladie fort répandue ne fasse pas l'objet d'un dépistage plus sérieux. Cette question devrait à mon sens être débattue lors de l'examen du projet de loi de santé publique.

Compte tenu de la manière dont cette maladie se transmet à l'homme, je m'étonne que dans les zones urbaines densément peuplées, les espaces verts ne soient pas désherbés au motif que l'on ne doit pas utiliser de pesticides ou que les parcs soient mal arrosés pour des raisons d'écologie urbaine. Or les tiques peuvent proliférer à foison dans de telles conditions. Il conviendrait que les élus locaux veillent à éviter une telle prolifération.

Enfin, si je suis signataire de cette proposition de loi, j'aurais souhaité que l'on pousse plus loin l'analyse en présentant des comparaisons internationales et que l'on propose des mesures plus ambitieuses en faveur du dépistage et du traitement de ce fléau.

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