…mais je tenais à faire part de mes réticences et de mon scepticisme. On peut travailler sur le sujet s’agissant de cas extrêmes, mais pas mettre tout le monde dans le même sac ni ne faire aucune distinction entre le commerce associé, la coopérative, les chaînes de grande distribution regroupant 500 ou 800 franchisés ou les commerces de proximité ne comptant que quelques dizaines d’acteurs.
Ce que nous allons décider peut porter à conséquence. On a toujours dit qu’il fallait de la lisibilité, de la stabilité et que sur de tels sujets, on ne pouvait pas légiférer sans disposer d’une étude d’impact.