et je peux comprendre, compte tenu de cette nouvelle position, qu’il soit plus sensible à son sort que des personnes s’en tenant plus éloignées. Peut-être a-t-il raison, mais quoi qu’il en soit, le débat mérite d’avoir lieu.
Monsieur Aubert, vous vous êtes interrogé sur l’origine de cet amendement. Vous allez sans doute, comme vous le faites souvent, me répondre que vous n’étiez pas encore élu, mais il s’agit d’une préoccupation que j’exprimais déjà lors de l’examen de la loi de modernisation de l’économie.