Qui pourrait en effet être contre la bonne idée consistant à lutter contre le gaspillage ? Cela dit les épiceries sociales existent déjà et n’ont aucun mal à passer des conventions avec les grandes et moyennes surfaces pour obtenir des invendus. En revanche, les associations qui ont l’habitude de s’occuper d’alimentation se disent actuellement dans l’incapacité absolue de gérer le stockage des masses de produits qui leurs sont adressés comme les personnels capables de s’en occuper. Dès lors, comment obliger des grandes surfaces à donner leurs stocks si personne n’est susceptible de les prendre et les conserver ? Il me semble donc que la mesure proposée est précipitée et qu’il faut prendre le temps de travailler la question et revoir les circuits.