Alors qu’aujourd’hui nous souhaitons créer du mouvement, de la croissance, de la confiance pour que le chômage baisse et que l’activité reprenne, nous allons créer une espèce de surtaxe qui n’est rien d’autre qu’un impôt qui ne dit pas son nom. Cet impôt sera payé par nos compatriotes et, puisqu’il ne dit pas son nom, il créera de la confusion et de l’opacité, ce qui risque d’entraîner le rejet à la fois de l’impôt et de certaines professions. L’objectif de ce texte n’était-il pas de créer de la croissance et de la dynamique dans l’activité ?
J’insiste sur le fait que les professionnels sont les seuls à alimenter ce fonds. Il serait juste de supprimer cet alinéa 7 afin de rendre le dispositif plus clair, plus fiable et plus juste.