La réforme pénale met un terme aux automatismes de réduction de peine que vous avez introduits par la loi du 9 mars 2004. Dorénavant, c’est le juge d’application des peines qui appréciera.
La réforme pénale se donne les moyens, par des recrutements de conseillers d’insertion et de probation, de surveillants pénitentiaires, de magistrats, de greffiers. Je vous donne rendez-vous pour nos résultats, monsieur le député !