… et permettre.
Parler, c’est faire en sorte que la Grèce continue de parler avec l’ensemble des acteurs du dossier, y compris avec ceux à l’encontre desquels elle a pu avoir des mots extrêmement sévères.
Proposer, c’est aussi entendre les propositions de la Grèce qui sont en train de se dessiner, plus audibles jour après jour. Cela nous permettra, lorsque nous les connaîtrons formellement – je pense à l’indexation des obligations sur la croissance, vous avez aussi évoqué d’autres pistes – de nous positionner, et éventuellement de discuter des modalités de mise en oeuvre.
Enfin, permettre, c’est permettre à la Grèce de retrouver la croissance. Étant donné la situation où elle se trouve aujourd’hui, les contraintes auxquelles elle est confrontée, il faut s’entendre au niveau européen – c’est pourquoi j’ai dit à l’instant que vous rejoigniez notre position.