Ma question s’adresse à M. Alain Vidalies, secrétaire d’État chargé des transports.
Monsieur le secrétaire d’État, au moment de la hausse du prix du baril de pétrole, les compagnies aériennes l’avaient répercutée sur les tarifs aériens. En effet, elles ont appliqué une taxe dénommée « surcharge carburant », taxe opaque et fourre-tout, venant grever le prix du billet.
Or, depuis le mois de juin 2014, le prix du baril de pétrole a connu une chute vertigineuse, passant de 111,8 dollars à 53,05 dollars aujourd’hui même – et la courbe est monotone décroissante. Il semblerait que cette baisse n’ait pas été prise en compte par les compagnies aériennes desservant les outre-mer.
Monsieur le secrétaire d’État, au-delà des reproches d’opacité que l’on peut adresser à ce système, quelles démarches comptez-vous entreprendre auprès des compagnies concernées pour permettre une diminution effective du prix des billets ?