Je citerai quant à moi, et très approximativement, Pascal Rogard, qui a souligné que la rémunération pour copie privée n'était pas une taxe.
Si la Cour des comptes rappelle que les SPRD doivent procéder à certaines économies, il reste que ce sont elles qui défendent le mieux les intérêts des créateurs.
On retire des propos échangés un sentiment d'amertume et d'opacité qui semble exiger des clarifications. En outre, à vous entendre, il y aurait une opposition entre les intérêts des auteurs et ceux des consommateurs. N'y a-t-il pas un danger à laisser se développer ce type de débat sur la culture ?