Vous avez raison : c'est le président du conseil régional qu'il faut viser. Et il ne faut lui accorder tout au plus qu'une quinzaine de jours pour se prononcer.
Une fois rectifié et sous-amendé, l'amendement disposerait que « Le président du conseil régional est saisi pour avis des investissements directs étrangers sur leur territoire relevant d'une procédure d'autorisation au sens du I de l'article L. 151-3 du code monétaire et financier. Il se prononce dans un délai de quinze jours suivant la saisine. » Qu'en pensez-vous ?