Le cas évoqué par Mme Dubié est le plus fréquent que nous soyons amenés à rencontrer aujourd'hui. Je pense même qu'il faudrait imposer ce qu'elle propose. Prenons le cas breton : nous avons un CRT mis en cohérence avec deux CDT, un troisième étant en discussion, quand il n'y a pas de discussion possible avec un quatrième. Il faut donc trouver la bonne formulation de façon à imposer la discussion.