Je suis sensible à votre argumentation, monsieur Lefebvre. Je reconnais qu’il y a là une niche, connaissant moi-même des cas d’enseignants, de militaires, etc, expatriés, qui veulent pouvoir disposer quand ils le souhaitent de leur résidence principale en France. Je crains cependant qu’en ouvrant cette niche on libère tout le chenil. Ce qui vient d’être exprimé par certains députés de Paris me paraît devoir être également pris en compte.
C’est pourquoi je vous demande de faire confiance à M. le ministre pour traiter cette affaire.