La situation des entreprises à la fin de 2014 n’est pas tout à fait celle de 2011, elle s’est considérablement dégradée. Si vous en doutez, le député qui est juste devant moi, qui connaît très bien le fonctionnement des tribunaux de commerce, vous fera un plaidoyer formidable en vous expliquant que les problèmes s’amoncellent, à cause de la diminution des taux de marge, des fonds propres et de l’aggravation des problèmes de trésorerie.
Face à une telle situation, mieux vaut peut-être permettre à ceux qui ont de l’argent d’aider ces entreprises plutôt que d’aller voir à la barre du tribunal si on peut sauver quelques emplois.