Monsieur le président Gharbi, vous venez de dire que le secteur privé était responsable et qu'il faisait attention aux emprunts qu'il contractait. Voulez-vous dire que les hôpitaux publics sont allés chercher de l'argent un peu n'importe comment parce qu'il fallait trouver des moyens de financement, quitte à prendre quelques risques ?