Nous sommes tout à fait d'accord avec vous, monsieur le président : les contrats financiers structurés à risque sont appelés à sortir du système. Cependant, il faut savoir que 70 % à 75 % des hôpitaux, qui paient encore aujourd'hui des taux bas, et ce depuis le début, hésitent à passer à taux fixe. Nous souhaitons donc que l'État intervienne également pour les inciter à renégocier ces prêts, d'autant que les indemnités seront proches de celles des taux fixes, c'est-à-dire assez basses. D'ailleurs, il me semble qu'un décret de 2012 fixe à 2017 l'échéance à laquelle les hôpitaux devraient passer à taux fixe.