Le Crédit Agricole fait le même constat. D'une part, nous avons largement compensé la défaillance de certains établissements pendant la période difficile. D'autre part, depuis deux à trois ans, nous constatons une diminution de nos encours, puisque de nouveaux opérateurs sont apparus.
Nous avons en outre proposé aux hôpitaux des émissions obligataires. Ce mode de financement alternatif – non risqué – intéresse plus particulièrement les établissements de grande taille.