Parmi les 21 recommandations ou commandements du rapport, je mettrai l'accent sur la formation à l'attractivité qui est fondamentale afin d'éviter le trop fréquent « nombrilisme français ». Par ailleurs, la douzième recommandation met la priorité sur la recherche d'investissements croisés par la nouvelle agence issue de la fusion d'Ubifrance et de l'AFII. Il faut trouver de nouvelles voies d'implantation en France, mais aussi renforcer les achats auprès des fournisseurs français. Aujourd'hui, la Coface, qui est incontournable pour obtenir l'assurance de prospection à l'export n'est pas adaptée, puisque j'ai été confronté à une attente de 16 mois dans ma circonscription pour obtenir un certificat de cette agence, qui est éloignée du terrain. Comment, dès lors, la nouvelle agence pourrait-elle apporter un gage pour les exportations, en remplacement de celui de la Coface, dès lors qu'elle semble plus à même de réaliser l'articulation avec les régions ? La facilitation de ces formalités d'export permettrait de renforcer l'attractivité de la France.