Il est difficile de mettre en oeuvre une politique de transports dans une aire de 30 000 habitants alors qu'il s'agit d'une compétence obligatoire pour une communauté d'agglomération – sauf convention particulière avec les conseils généraux. Il faut que l'on connaisse le nom des espaces concernés ; cela peut en effet s'avérer intéressant pour des zones très rurales et peu peuplées, mais il convient d'éviter les effets d'aubaine et l'émergence de communautés où, la ville centre étant trop faible, la gouvernance de la zone se révèle très ardue. De même, les communautés d'agglomération qui souhaitent devenir des communautés urbaines sont motivées par le supplément de ressources qui accompagne un tel changement.