Je ne vois pas pourquoi nous priverions l'IGJS des prérogatives dont jouit aujourd'hui l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS), par exemple. Celle-ci vit depuis une vingtaine d'années sous statut législatif, lequel n'a pas particulièrement évolué, et s'en porte plutôt bien.
C'est une demande forte de la part des acteurs de terrain que sont les inspecteurs généraux de la jeunesse et des sports, que nous côtoyons tous très régulièrement sur les territoires. Les mettre sur un pied d'égalité avec l'IGAS et assurer la sécurité juridique de leurs actes me semble être une mesure de bon sens.