Ben Lefetey, que nous avons auditionné, a reconnu ne pas avoir pu contrôler la manifestation, pendant la nuit du 25 octobre. Vous avez expliqué la présence des forces de l'ordre par la crainte d'une contre-manifestation. L'enquête judiciaire expliquera pourquoi il n'y avait que soixante-cinq gardes mobiles en face des 150 manifestants qui, la veille, s'étaient déjà rendus coupables de violence.