Lors de la précédente législature, nous avions traité d'un sujet, l'anorexie, qui touche davantage les filles que les garçons – à 80 ou 90 %. Les infirmières scolaires sont les premières à pouvoir détecter les filles victimes d'anorexie ou de boulimie – parce que les deux sont souvent liées. A-t-on mené des campagnes contre l'anorexie ? J'ai l'impression que c'est un sujet dont on ne parle plus, mais il peut être gravissime pour les jeunes filles, qu'il faut parfois séparer de leur famille.