Intervention de Michel Piron

Réunion du 14 janvier 2015 à 16h30
Commission des affaires européennes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichel Piron :

Le plan Juncker représente certes une somme très modeste à l'échelle de l'Europe, mais il a le mérite d'exister.

Comment des États comme la Grèce, le Portugal, l'Espagne et même l'Italie, qui ont fait des efforts considérables et continuent de mener des réformes structurelles importantes et qui sont confrontés à des conditions d'emprunt difficiles – avec des écarts de taux d'intérêt supérieur de 2 à 4 points avec ceux des autres États européens – vont - ils pouvoir financer de nouveaux investissements ? Quel message le gouvernement français entend-il porter à ce sujet au niveau européen ?

Pour le reste, je souscris aux questions déjà posées. Que pense en particulier l'Europe de l'Ukraine ?

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