Merci, monsieur le secrétaire d’État. Je crois en effet que la baisse de l’euro, la chute du prix du pétrole et les assouplissements quantitatifs prévus par M. Draghi à la BCE, pour importants qu’ils soient, ne suffiront pas à relancer la croissance. C’est la raison pour laquelle j’insiste beaucoup pour que le plan Juncker puisse être mis en oeuvre dans les meilleurs délais.