L'investissement hospitalier est toujours compliqué, particulièrement en Île-de-France et à Paris, notamment pour ce qui est des questions relatives au foncier et à l'organisation des travaux. Il est toujours difficile de ménager des transitions, dans la mesure où l'activité de nos hôpitaux ne s'arrête jamais. À cet égard, nous rencontrons les mêmes problèmes que partout ailleurs, mais à plus grande échelle.
Nous n'avons pas encore de recul sur la procédure d'autorisation suivie par le COPERMO, qui est compétent pour les investissements supérieurs à 50 millions d'euros. Le COPERMO examine actuellement le premier dossier que nous lui avons soumis. Il a déjà validé un dossier présenté par l'ARS d'Île-de-France, qui concerne Melun-Sénart, mais qui n'est pas de la même ampleur. Dans le cadre de la négociation, nous essayons de faire prendre conscience que nous avons besoin de réponses rapides, la réalisation des opérations en question s'étalant sur de nombreuses années.