La situation est encore plus grave pour l'Espagne et l'Italie, dont la dette publique est particulièrement élevée. Syriza n'a pas tort d'affirmer que la Grèce ne peut pas rembourser, mais cette situation nous pose des problèmes considérables. L'histoire montre que le FMI est presque toujours remboursé. On peut donc supposer que la Grèce le remboursera, ainsi que la BCE, et qu'elle fera défaut à hauteur de 50 % – ce qui est la norme – sur la dette bilatérale contractée envers l'Eurogroupe.